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Sauve qui peut le court métrage
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Auteurs en résidence : Pierre-Emmanuel Urcun

9 avril 2020
Commission

Le Label création de Sauve qui peut le court métrage – ShortCuts – vous propose de rencontrer les lauréats des résidences d’écriture 2020 de Moulins et Clermont-Ferrand à travers 3 interviews. Après avoir découvert le travail de Zoël Aeschbacher dans un premier entretien, partons à la rencontre de Pierre-Emmanuel Urcun en résidence d’écriture de long métrage avec son projet de fiction « Opération Choukran ».

Pierre-Emmanuel, pouvez-vous vous présenter brièvement ?

Je m’appelle Pierre-Emmanuel Urcun, je suis né à Brest en 1979, je suis cinéaste et producteur au sein du collectif Stank et j’ai eu l’occasion de découvrir Clermont-Ferrand et son festival avec mon film « Le dernier des céfrans » en 2015. Une aventure qui s’est renouvelée en 2017 avec le film « Rase campagne ».

Pouvez-vous nous présenter la genèse de votre projet ?

« Opération Choukran » s’inscrit dans la continuité du « Dernier des céfrans ». Je savais que j’avais envie de prolonger le destin du personnage principal Rémi et les thématiques que j’avais déjà abordées dans « Le dernier des céfrans ». Je voulais aussi qu’il y ait plus d’aventure, de voyage donc ça m’a amené assez naturellement vers le théâtre des opérations militaires françaises en Afrique, un continent que je connais un peu et que j’aime…

Comment ce projet s’inscrit dans votre travail de cinéaste ?

Comme je vous l’ai exposé avant, il s’agit d’un prolongement d’une histoire que je voulais poursuivre en déployant les ingrédients que j’avais injectés dans Le dernier des céfrans en leur donnant plus d’ampleur et de résonance.

Pourquoi avez-vous candidaté à la résidence d’écriture ?

C’est vraiment le plaisir que j’ai pu prendre à participer au festival de Clermont-Ferrand, les moments que j’ai partagé là-bas, les rencontres que j’ai pu faire, la générosité de l’équipe de Sauve qui peut le court, sa simplicité aussi, l’énergie de la ville, ce qu’elle dégage et qui me rappelle ma ville de Brest par moment à la différence près que vous avez les volcans et nous avons l’océan. J’aimais aussi l’idée d’aller à la rencontre du jeune public et de partager mon expérience, c’est quelque chose qui me tient à cœur, de sonder cette jeunesse qui se forge un esprit critique, de voir comment elle réagit et elle partage les choses.

Est-ce la première fois que vous travaillez en résidence ? Comment aborder vous ce mode de travail particulier ?

Non, au sein de Stank cela fait maintenant plus de 7 ans que nous organisons des résidences dans des lieux propices à l’introspection et à l’écriture. Nous y convions des amis ou des connaissances dont nous apprécions le travail et chacun vient avec ce qu’il a développé sous le coude. Ça peut être une simple idée, un scénario ou un film qui est à l’étape du montage. On échange alors de manière informelle, comme chacun le sent et on profite des lieux qui nous reçoivent. L’emplacement de la résidence joue pour beaucoup dans l’énergie du groupe, les échanges et les idées qui surgissent.

Comment on aborde cela ? Avec beaucoup d’humilité tout d’abord. On ne sait jamais ce qui naitra de tels instants. Parfois c’est une explosion de créativité et des fois c’est le théâtre de la remise en question, parfois même on recule… Pour la résidence de Clermont-Ferrand, je suis venu pour partager, me nourrir des retours que les intervenants ont pu me faire, creuser dans les directions qu’ils m’aiguillent sans perdre ce qui fonde mon écriture. De mon côté, j’avais identifié de nombreux points à améliorer et je me suis fixé pas mal de petits exercices sur des zones précises du scénario que j’avais entre les mains. Souvent des petites choses, des séquences à retravailler, à préciser… C’est surtout un conditionnement pour être en mesure d’être ouvert à ces idées qui viennent et qu’ensuite on couche sur papier si on estime qu’il s’agit d’une bonne piste à explorer.

En arrivant en début de résidence, à quelle étape de construction du récit étiez-vous ? Une idée, un synopsis… ?

J’avais un traitement et une version déjà bien avancée de ma continuité dialoguée sur laquelle je travaille depuis un an à peu près.

Vous êtes-vous fixé un/des objectif/s d’écriture pour lessemaines de résidences ?

Explorer les pistes narratives et dramaturgiques qui ont émergé des retours des intervenants avec qui j’ai pu échanger (Delphine Agut, scénariste et Pascale Faure, responsable des programmes courts de Canal+) et ensuite avancer par touche sur les zones précises que j’ai identifié (un trait de la personnalité d’un personnage, une séquence, une scène précise). Comme gros chantier, j’avais à clarifier la trajectoire du personnage principal Rémi : ce qui l’habite, les changements profonds qui vont intervenir chez lui au cours de ce voyage initiatique.

La résidence touche à sa fin, comment avance votre projet ? sur quels points avez-vous pu avancer ?

Je suis sur tous les fronts et ça avance au gré de l’inspiration. Le contexte actuel paradoxalement crée un peu plus de résistance que ce que je m’imaginais. Je me disais « chouette le confinement c’est le moment parfait pour écrire, on n’a que ça à faire…» et au final on est tellement assailli par ce contexte social, médiatique, les interrogations, les doutes, les peurs et les réflexions plus générales sur le monde dans lequel nous vivons que ça rend les choses un peu plus difficile même si le temps de la création est omniprésent.

A l’inverse avez-vous des besoins prégnants en termes de ressources (documentation, rencontre, repérages,…) pour déclencher des choses en matière de création ?

Pas forcément actuellement. Depuis que je travaille sur cette histoire (2017), je me suis constitué un corpus assez dense, j’ai fait beaucoup de recherches et j’ai accumulé beaucoup de références et d’inspirations. Maintenant j’essaie de m’affranchir de tout cela, pour naviguer un peu à vue tout en sachant que cette matière innerve inconsciemment mon écriture. Des fois, je me replonge dedans pour retrouver ce qui m’avait interpellé à l’époque et j’y vois de nouvelles choses.

Malgré une situation singulière liée au confinement, comment êtes-vous accompagnés par les professionnels dans l’écriture de votre projet pendant la résidence ?

C’est un peu comme tout le monde, on télé-travaille. J’ai fait deux rendez-vous Skype avec les intervenants et j’ai des échanges réguliers sur le scénario avec Jérôme Ters, le responsable de la résidence. En soi, c’est ce qui était prévu à l’origine mais là encore le contexte crée une légère distorsion et ça devient des échanges entre confinés, c’est étrange car à l’origine, je devais être le seul « confiné » dans cette histoire…

 

 

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29 JAN. > 6 FÉV. 2021
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